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Argentine
Aperçu du partenariat
L'Argentine a adhéré au Fonds africain de développement (FAD) en 1979, puis à la Banque africaine de développement (BAD) en 1985. Au titre de la 12e reconstitution des ressources du Fonds africain de développement (“FAD-12”), l’Argentine a contribué à hauteur de 15 millions de dollars EU. Le pays envisage de renforcer davantage ses partenariats, grâce notamment à un accord de coopération technique avec le Groupe de la Banque. L'Argentine, qui porte un grand intérêt aux principes de solidarité, estime que les pays à revenu intermédiaire devraient également contribuer au développement. A ce sujet, l’agro-industrie et le développement agricole, au cœur de son expertise, sont ses deux centres d’intérêt majeurs.
Initiatives conjointes
Pour l’heure, l'Argentine et le Groupe de la Banque envisagent de renforcer leur coopération. Le continent africain peut d’ailleurs s’inspirer des acquis du pays en matière d'agriculture, ainsi que du partage d'expériences avec d'autres États d'Amérique latine. La Banque s’est proposée de recevoir un assistant technique ou de se voir détacher un spécialiste au sein de son Département de l'agriculture, qui apporterait son expertise technique aux activités opérationnelles de la Banque liées à l'agriculture et à l'agro-industrie. La BAD est également disposée à réfléchir, de concert avec le gouvernement argentin, à des possibilités de cofinancement en faveur du secteur agricole en Argentine.
Par ailleurs, l'Argentine compte s’impliquer dans la coopération Sud-Sud, via le Fonds fiduciaire pour la coopération Sud-Sud. Sa participation fait actuellement l’objet de pourparlers.
Note : La République argentine tient à rappeler que les îles Malvinas, Georgias del Sur et Sandwich del Sur ainsi que les zones maritimes environnantes font l’objet d’un conflit de souveraineté entre la République argentine et le Royaume-Uni, qui a été reconnu par la résolution 2065 (XX) de l’Assemblée générale des Nations unies et les résolutions ultérieures du Comité spécial de la décolonisation, qui reconnaît l’existence d’un conflit de souveraineté et exhorte les parties, c’est-à-dire la République argentine et le Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d’Irlande du Nord, à reprendre les négociations sur la souveraineté en vue de parvenir à un règlement pacifique.
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